Pour le lecteur un peu bizarre qui dans le monde d'avant (qui n'existe pas) pratiquait aussi bien « Le Brady » que le « Déjazet », On ne meurt pas de chagrin est aussi une histoire de zombie.
On ne meurt pas de chagrin est aussi un essai sur l'amitié.
Sur l'impossibilité de l'amitié.
Sur l'impossibilité de l'amitié.
Le blog permet l'amitié ; c'est en ce sens que le blog est une des formes la plus exquise de l'inconfort de vivre.
«Ton absence t'a remplacé.»
Le commentateur doit dire sur quelle phrase il s'est arrêté.
Le lecteur pense qu'il est possible à partir d'un livre (pas n'importe quel livre) de déboucher aux confins de l'univers (à écrire et à supprimer : confins de l'univers n'est pas satisfaisant).
Dans un ordre parfait du monde, à la fin de sa lecture, le lecteur s'évapore.
Pardon, je reprends : Oui, en même temps c'est bizarrede se voir rouler en cabriolet sur la corniche qui va de Saint Jean de Luz à Hendaye...
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