lundi 28 février 2011

Alfonso, gardien de piscine à Ténérife a dit...






















Hier soir,l'écrivain John Fante, ivre mort, s’est jeté dans la piscine de l’hôtel.
En me regardant, il criait: « Coupez moi la tête, Didi coupez moi la tête ».  
M.Schiffter, vous savez bien que je m’appelle Alfonso!
En tout cas, avec mon robot,  j’ai tout bien nettoyé et maintenant c’est propre!
 

samedi 26 février 2011

Alfonso, gardien de piscine à Ténérife a dit…























Hier, Jean Pierre Pernaut est arrivé à l'hôtel.
Comme chaque année il me tape sur l'épaule et me dit:"Alors mon petit Alfonso, tu vas bien ?"
Tout en démêlant les fils et les tuyaux du robot de piscine, je l'observe s'installer à votre place, une pile de livres,de journaux et de magazines sous le bras.
Parmi tout ces livres, M.Schiffter, j'ai reconnu tout de suite... la couverture de votre "Philosophie Sentimentale"!
Mais chut, maintenant M.Pernaut observe les bougainvilliers...

vendredi 25 février 2011

Alfonso, gardien de piscine à Ténérife a dit...

M.Schiffter, c'est moi Alfonso, le garçon de piscine.
Excusez moi pour ce matin.
Je souffre d'insomnie et entre deux insomnies je pratique un peu la sieste et un peu Schopenhauer.
Du coup, j'arrive en retard à mon travail.
Je vous ai vu tous les deux cet après midi.
Elle, magnifique, vous parlant d'authenticité.
J'ai failli intervenir.
J'ai failli crier votre si harmonieuse harmonie, "la pensée commune des pensants séparés".
Demain je vous réserve la meilleure place.

jeudi 24 février 2011

Ce qu'aurait pu dire Alfonso, gardien de piscine à Ténérife...
















Ce que je regarde en premier sur votre blog? 
Ce ne sont pas ses yeux, pas ses genoux ni ses hanches, ni les fesses ni le reste...non ce que je regarde en premier ce sont les libellés. 
Les libellés, vos merveilleux libellés. 
Minuscules, à la fin, ils disent tout du premier coup. 
Sachez que chaque jour, mon corps avance avec dans sa tête votre merveilleux poème in progress: "invitation à la dérive"

mercredi 23 février 2011

Alfonso, gardien de piscine à Ténérife a dit…

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
"YO es otro. Tanto peor para la madera que se descubre violín,..."
Con ustedes me siento un poco menos loco a pesar de mi trabajo.
Con que, Sr.Shiffter puedo respirar buganvillas artificiales!
Larga vida a tu blog!

dimanche 20 février 2011

Alfonso, garçon de piscine à Ténérife, se souvient d'Oscar Wilde.

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

«C'est plus la vie qui imite l'art que l'art qui imite la vie.» 

Je me souviens très bien, il y a deux ou trois saisons, d'Oscar Wilde paressant au bord de la piscine de l'hôtel, me déclamant cette phrase son visage pâle en plein soleil, à moi jeune garçon de piscine! 

Il y a du Mr.Wilde en vous M.Schiffter!


samedi 19 février 2011

Pour qu'Alfonso, garçon de piscine à Ténérife, puisse vaquer librement à ses occupations personnelles.
























Code du travail : définition de la durée du travail effectif.

Aux termes de l'article L212-4, modifié par une loi de 2005, il s'agit du "temps pendant lequel le salarié est à la disposition de l'employeur et doit se conformer à ses directives sans pouvoir vaquer librement à des occupations personnelles".


"Le temps nécessaire à la restauration ainsi que les temps consacrés aux pauses sont considérés comme du temps de travail effectif".