dimanche 8 mars 2015
4 commentaires:
[La grand’salle du château.]
Entrent Hamlet et plusieurs Comédiens.
HAMLET
Dites, je vous prie, cette tirade comme je l’ai prononcée devant vous, couramment ; mais si vous la braillez, comme font beaucoup de nos acteurs, j’aimerais autant faire dire mes vers par le crieur de la ville. Ne sciez pas trop l’air ainsi, avec votre bras ; mais usez de tout sobrement ; car, au milieu même du torrent, de la tempête, et, je pourrais dire, du tourbillon de la passion, vous devez avoir et conserver une modération qui lui donne de l’harmonie.
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Que de livres, je vous suis, sauf chez Verlaine, mais c'est une autre histoire. Un Schiffter de plus, nous nous connaissons depuis quarante ans. Bien à vous, à la croisée d'un rempart. Ph. Ch.
RépondreSupprimerQuarante ans... ¡ Coño !
Supprimerafonso , je viens vous faire un salut, je n'arrive pas à pénter vos billets, question de génération et de sexe , mais ma tendresse pour vous est toujours chaleureuse et pleine . Bonjour à votre femme . Frankie
RépondreSupprimerTrès chère Frankie, l'histoire du bonnet de bain revient régulièrement ici. Nina me demande souvent de vos nouvelles : l'autre jour je lui ai montré la photo de Burt Lancaster en swimmer (c'est un peu nous aux Tourelles, for ever ligne n°1).
RépondreSupprimerPhilippe Chauché, Frédéric Schiffter — mon dieu, docteur priez pour moi je lis : Cosmos : ah, les lianes tueuses —, et Françoise Pain ici réunis : quel casting cela ferait !
Je vous étreins aristocratiquement duchesse of Pain (je n'abandonne pas l'idée d'enregistrer votre voix : ici à la fin du repas ils ont parlé de l'avant-programme du festival 2015 : de la cuisine j'ai entendu qu'il y a Richard III au théâtre municipal : dommage qu'il soit climatisé).
Olivier