jeudi 8 mars 2012

Saison — 1, Épisode — 13

4 commentaires:

  1. Cher Alfonso,

    Je viens de prendre connaissance de votre épisode 13.
    Un simple merci me semble bien insuffisant.
    Un « ça me touche beaucoup » si banal.
    Comme j’aimerais pouvoir sortir de ma petite caboche certains mots aussi aisément que Voltaire...
    Rien à faire, plus je creuse, moins coule la sève.

    Aussi, merci, infiniment, et bonjour à votre petite Nina.
    Un sourire enfantin brillant et étincelant, j’en suis sûre.

    Bien à vous, Virginie.

    RépondreSupprimer
  2. Cher Alfonso,

    Ne pouvant résister à un certain atavisme féminin, lequel est - disent les mauvaises langues - le fait de posséder une curiosité insatiable couplée à un désir démesuré de tout savoir, pourriez-vous m’expliciter ce qu’est le « Membre du Comité de Rénovation tellurique. » ?

    J’ai cru lire cela également sur le blog (NouVelles de sOus mon front) de notre chère amie V. dont j’apprécie beaucoup les fines pointes… la finesse d’écriture.

    Bien à vous, Virginie.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Pourquoi "féminin" ? Disons plutôt "humain", non ? ( il faut croire que je ne suis pas "mauvaise langue" ;-) )

      Pour répondre à votre question, il s'avère que cela concerne notre ami le Marquis de l'Orée, vous aurez quelques éléments de réponses ici : http://lemarquisdeloree.blogspot.com/2011/10/je-propose-de-former-une-nouvelle.html#comment-form

      (Alfonso parle très peu en général, c'est pourquoi je me permets de répondre à sa place, il préfère créer.)

      Supprimer
    2. Merci Cédric pour ce lien très éclairant.

      Voler où l’on veut, comme l’on veut. Effectively.

      Tout pour contrer – oui – ces vendeurs de cages.

      Bien à vous - tous - Virginie.

      Supprimer

[La grand’salle du château.]

Entrent Hamlet et plusieurs Comédiens.

HAMLET
Dites, je vous prie, cette tirade comme je l’ai prononcée devant vous, couramment ; mais si vous la braillez, comme font beaucoup de nos acteurs, j’aimerais autant faire dire mes vers par le crieur de la ville. Ne sciez pas trop l’air ainsi, avec votre bras ; mais usez de tout sobrement ; car, au milieu même du torrent, de la tempête, et, je pourrais dire, du tourbillon de la passion, vous devez avoir et conserver une modération qui lui donne de l’harmonie.