lundi 5 mars 2012

Saison — 1, Épisode — 12

 

4 commentaires:

  1. Le « queues de coqs » indiqué sur le menu, me fit me poser la question de l'origine du mot :

    Étymologie (source wikipédia) :

    Par traduction directe de l'anglais, « cock » veut dire « coq » et « tail » : « queue ». Plusieurs théories, toutes plus ou moins plausibles, sont en lice pour expliquer l'origine du mot. Par exemple « cocktail » viendrait de la contraction de « peacock tail » (en français : « queue de paon ») compte tenu de sa couleur.
    La plus répandue explique que l'on attachait la queue des chevaux de trait pour la tresser, mais pas aux pur-sang. Le terme « cocked-tail » (littéralement « queue tressée ») qui désignait de tels chevaux a ensuite évolué, prenant le sens plus général de douteux, bâtard, pour enfin désigner une boisson issue de mélanges.
    D'autres disent que la coutume voulait que l'on plaçât une plume (sans doute une plume de coq) dans une boisson pour servir de décoration et pour indiquer la présence d'alcool. On dit aussi que le mot anglais serait une déformation du mot français « coquetier », qui aurait été utilisé comme récipient pour servir les cocktails à La Nouvelle-Orléans au début du XIXe siècle. Certains situent l'origine du mot au Mexique : « Coctel » était le nom d'une princesse dont le père fabriquait des mélanges mystérieux... Pour ces raisons, l'OQLF a adopté la graphie « coquetel ». Boris Vian avait auparavant proposé l'orthographe « coquetèle ».
    Selon une autre légende, la fille d'un cabaretier américain qui, ayant perdu son coq à la queue si colorée, offrit un breuvage à l'homme qui le retrouva et baptisa cette boisson cocktail (« Queue de coq »). Certains philologues farfelus vont jusqu'à imaginer dans ce mot, l'altération de Xochitl, nom d'une prétendue princesse aztèque, créatrice de fabuleux breuvages.
    Enfin, les derniers placent l'origine du mot dans un contexte de charme et de séduction. En effet, par tradition un cocktail ne se boit qu'à la paille et est réservé à la gent féminine, ce qui donne un spectacle qui laisse ainsi l'imagination des hommes à tous les fantasmes. On appelle « Virgin Cocktail » (« Cocktail vierge ») un cocktail sans alcool.


    On cliquera également ici.

    Salute !

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  2. Quelques gouttes de V. dans une goutte de genièvre, comme des termites dans un totem, et nous serons guéris.

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    1. Plutôt qu'un mélange sirupeux et supposément suggestif, une bonne Zubrowska donne de bien meilleurs résultats.

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  3. Genièvre ! (Je vais tenter de retrouver cet aphorisme de Louis Scutenaire dans lequel il mentionne une anecdote de son village. Frère Louis ne me quitte jamais dans les moments savoureux.)

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[La grand’salle du château.]

Entrent Hamlet et plusieurs Comédiens.

HAMLET
Dites, je vous prie, cette tirade comme je l’ai prononcée devant vous, couramment ; mais si vous la braillez, comme font beaucoup de nos acteurs, j’aimerais autant faire dire mes vers par le crieur de la ville. Ne sciez pas trop l’air ainsi, avec votre bras ; mais usez de tout sobrement ; car, au milieu même du torrent, de la tempête, et, je pourrais dire, du tourbillon de la passion, vous devez avoir et conserver une modération qui lui donne de l’harmonie.