Site de production et de conditionnement des oeufs de l'Orée. Merci de prendre connaissance, dans les commentaires, de l'importante mise au point des Etablissements de l'Orée. |
* Dans le journal d’un soir mélancolique de ce dimanche ensoleillé c’est le livre-supplément à un peu moins de 5€ de l’autre jour qui m’a le plus intéressé : « La fuite de Monsieur Monde ».
* La dame un peu folle qui cherche, tous les jours, son horrible bichon frisé jusque dans les bougainvillées en criant : « Riquiqui, viens ici tout de suite ! » déteste le robot d’Alfonso.
Surtout depuis que son horrible bichon frisé est tombé dans la piscine et que le robot d'Alfonso l’a avalé en même temps qu’une fameuse casquette rouge, que quelques pétales de bougainvillées et qu'un magnifique creux qui dessine les obliques [1].
[1] La vulgate dit que c’est à partir de ce moment que le robot d’Alfonso s’humanisa. La vulgate dit aussi que les robots ne mangent pas les chiens. Les casquettes rouges peut-être. Mais pas les chiens. C'est vrai.
La vulgate ne dit presque rien sur le magnifique creux qui dessine les obliques. Mais la vulgate n'en pense pas moins.
La vulgate ne dit presque rien sur le magnifique creux qui dessine les obliques. Mais la vulgate n'en pense pas moins.
Cher Alfonso, il ne s'agit nullement du site de l'Orée mais d'un document contrefait qui circule sur un site de désinformation à tendance écologiste. Nos oeufs sont traités à La Hague et emballés avec le plus grand soin chez Greenflower, dans le Wudangshan.
RépondreSupprimerCordialement
delorée
Le creux qui dessine les obliques est une forme en creux (on s'en doutait) située sous les obliques externes, c'est-à-dire sur les flancs bas de l'homme. C'est un objet rare et très recherché.
RépondreSupprimerCertains le savent et m’en veulent : J’ai décidé de me séparer de mon petit Alfonso. Un chef d’établissement comme La Plantación doit prendre quelquefois des décisions douloureuses.
RépondreSupprimerSachez que mon Alfonso voit grand et qu’il bénéficie maintenant d’un capital-formation : Conducteur de bathyscaphes.
¿Y qué?
Pour devenir chasseur de robots subaquatiques ?
RépondreSupprimerMonsieur Vasquez vous êtes sans coeur.
Monsieur Vasquez,
RépondreSupprimerle mépris et la condescendance que vous exprimez à l'encontre de celui que vous dénommez "mon petit Alfonso" sont sidérants.
Vous aviez à votre service un immense poète des profondeurs et vous le sortez de l'eau ? Jetez donc un oeil sur son cahier des charges et vous y trouverez les plans d'UN ANEMOMETRE INVERSE.
Refuseriez-vous à un fou la décote du Pirée ?
N'adouberiez-vous La Dubari ?
Ah.
Monsieur Clément Rosset lui-même, polytechnicien du pire, a dit un jour (je cite de mémoire): "Vous êtes bien sots d'en être arrivés là, mais je danse". Tout autre semble être la réaction d'un rhinocéros de mes amis qui faisait route vers Vintimille à contresens. Apprenant la nouvelle, il s'est détourné vers votre établissement.
Vous tenterez de lui expliquer. Pour ma part, je n'en puis plus.
Je ne salue ni cette éviction
delorée
Est-ce le creux qui dessine les obliques ou les obliques qui dessinent le creux ? Allez-vous approfondir la question à bord de votre bathyscaphe cher Alfonso ? Il semble que V soit la solution..chl'Orée cela va de soi.
RépondreSupprimerCorhinéros
Querida señora Corhinéros, ce V, ce grand V badigeonné sur le plongeoir, juste à côté de ce robot qui m’a apporté tant d’ennuis, c’est Alfonso qui l’a dessiné. Entendez-moi bien : Il s’agit de mon V, le V de Vasquez.
RépondreSupprimerSeñora Corhinéros, cómo decir…
Mais c'est Charlie, bien sûr ! Et son drôle de drame.
RépondreSupprimerSinon, Señor Vasquez, j'entends bien, mais ce V, même s'il s'agit du vôtre, il n'en reste pas moins que deux obliques formant un creux, je persiste ! Et signe.
RépondreSupprimerCorhinéros
PS : Tout en déplorant qu'il n'ait pu prendre lui-même cette initiative, je suis persuadée qu'Alfonso sortira grandi de cette éviction, vous par contre, vous ne danserez plus.
Encore un mot Señora, pour égayer un peu le grand hall de la plantación le Doctor schiffter me conseille l’œuvre monumentale d’un peintre de facture muy clásico : « la fin du monde ».
RépondreSupprimerL’homme qui pose est Charbovari.
¿Quién es este caballero?
Mr V, il y a du rififi dans l'ordre de vos commentaires..
RépondreSupprimerVasquez ! Rendez-moi mon V. !
RépondreSupprimerCorhinéros, la question au sujet des obliques est: sans obliques y aurait-il un creux? En effet, même avec un creux, il peut ne pas y avoir d'obliques, c'est ce que l'on appelle le grand mou. Si les obliques deviennent visibles, on peut supposer que la masse graisseuse a disparu et logiquement apparaît le creux. Cette imprécision signifierait-elle que celui qui prétend travailler à ses obliques n'y travaille pas tant que cela?
Chère V., voilà un excellent moyen de vérifier l'assiduité au travail des obliques. S'il n'y a qu'un creux, c'est donc un grand mou, et menteur avec ça !
RépondreSupprimerJe sais, chère Corinoféros, c'est moche.
RépondreSupprimerBah, vous savez à mon âge, on aime son petit confort. Les grands durs qui prêchent la transparence, bof. Je préfère les petits ronds dans l'eau trouble des piscines..:-)
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