lundi 3 octobre 2011

Rimbaud — 4










Mes excuses à Alfonso qui avait envoyé le message suivant :
La strideur des clairons, l’arôme du carnage ! —
Philothée O’Neddy
Feu et Flamme 1833
Cher Monsieur Bienvenu, Rimbaud a t-il pu lire Philothée O’Neddy ?

Ce message ayant été supprimé par erreur[1]. J'ai d'ailleurs répondu à cette question intéressante juste avant.



[1] C’est moi qui vous présente mes excuses, Monsieur Bienvenu, pour vous avoir contraint à pulvériser ce commentaire mal placé.

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[La grand’salle du château.]

Entrent Hamlet et plusieurs Comédiens.

HAMLET
Dites, je vous prie, cette tirade comme je l’ai prononcée devant vous, couramment ; mais si vous la braillez, comme font beaucoup de nos acteurs, j’aimerais autant faire dire mes vers par le crieur de la ville. Ne sciez pas trop l’air ainsi, avec votre bras ; mais usez de tout sobrement ; car, au milieu même du torrent, de la tempête, et, je pourrais dire, du tourbillon de la passion, vous devez avoir et conserver une modération qui lui donne de l’harmonie.