lundi 17 décembre 2012
4 commentaires:
[La grand’salle du château.]
Entrent Hamlet et plusieurs Comédiens.
HAMLET
Dites, je vous prie, cette tirade comme je l’ai prononcée devant vous, couramment ; mais si vous la braillez, comme font beaucoup de nos acteurs, j’aimerais autant faire dire mes vers par le crieur de la ville. Ne sciez pas trop l’air ainsi, avec votre bras ; mais usez de tout sobrement ; car, au milieu même du torrent, de la tempête, et, je pourrais dire, du tourbillon de la passion, vous devez avoir et conserver une modération qui lui donne de l’harmonie.
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Le mot de la fin est pour Monsieur Hou, comme toujours. Je me souviens lui avoir offert La tentation nihiliste de Ragondin Jovial, lors de sa sortie. Au beau milieu de sa lecture il fut saisi d'un accès rageur et le mit en pièces, puis l'envoya valser en cent morceaux dans son jardin où il se décompose encore.
RépondreSupprimerCela dit, bel empilement de catastrophes que vous avez là, pour les fêtes.
Puisse le douze décembre nous épargner le pire en le précipitant.
Hare rama, ara.
Je constate que l'info n'a pas encore été suffisamment relayée (le Marquis fuligulaire mentionne le douze or il s'agit bien du vingt et un ) : http://www.211212.info/
RépondreSupprimerPour certains, la fin du monde c'est qu'elle n'aura pas lieu...n'est-ce pas cher Marquis ! ;-)
Quelle coquille, cet acte manqué !
RépondreSupprimerEn mon for intérieur je dois certainement adorer la croûte.
Cher Alfonso,
RépondreSupprimerAprès avoir sauvagement retourné mon ordinateur afin de découvrir la teneur de vos cadeaux - anticipés de Noël – permettez-moi de vous souhaiter mes meilleurs vœux.
Avec beaucoup d’avance, certes… par les temps de fin du monde, on n’est jamais trop prudent…
Très amicalement, Virginie.