mardi 6 novembre 2012

Ver erat, — 1


5 commentaires:

  1. Virginie - Le chêne parlantmardi, 06 novembre, 2012

    Courage ! Restez, cher Alfonso, semelles au vent !

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    1. C'est drôle chère Virginie: Je viens de lire chez qui vous savez un chapitre inédit du Bloc : la tentation du Doo-wop.
      Ça m'a ragaillardi.

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  2. Je vous explique ma soirée, vous m'en direz des nouvelles.

    Premièrement je passe ici. Je lis les commentaires de Virginie et d'Alfonso.

    Puis, de façon logique, je m'en vais lire "chez qui vous savez" la tentation du doo wop.

    Ensuite (je fais bref), je passe chez Chauché (on y évoque Francis Scott Fitzgerald), Schiffter (La Rochefoucauld), j'en passe, puis chez Di Nota, et là, il est question d'Alain Bonnand. Ignorant tout de cet écrivain, je demande à Google.

    Et dans Google Vidéos, (vous suivez? c'est là que ça devient marrant), avec écrit dans la zone de recherche "Alain Bonnand", je tombe avec étonnement et par hasard (les hasards existent-ils ?) sur une vidéo de "qui vous savez" en plus jeune qu'aujourd'hui. ( Et si 'qui vous savez' lit ceci : mais oui vous êtes resté le même ! (à part peut-être la coupe de cheveux)). La boucle se boucle.

    C'est ici : Cliquez cliquez cliquez !!!


    Mais c'est pas fini, car dans cette interview, je vous le donne en mille, sont évoqués, entre autres, La Rochefoucauld, Fitzgerald, Alain Bonnand...

    "- Dis donc, tu comptes vivre de tes livres un jour ?
    - Ah oui tout à fait oui."





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  3. Il y a aussi Jean Sulivan chez le Lorgnon mélancolique, cher Cédric.
    Mais le grand moment c'est quand même l'homme de la cabane du Marquis de l'Orée pour thoams.

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    1. Oui, j'ai lu ça, très grand moment, en effet.

      Décidément, tout est parfait.

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[La grand’salle du château.]

Entrent Hamlet et plusieurs Comédiens.

HAMLET
Dites, je vous prie, cette tirade comme je l’ai prononcée devant vous, couramment ; mais si vous la braillez, comme font beaucoup de nos acteurs, j’aimerais autant faire dire mes vers par le crieur de la ville. Ne sciez pas trop l’air ainsi, avec votre bras ; mais usez de tout sobrement ; car, au milieu même du torrent, de la tempête, et, je pourrais dire, du tourbillon de la passion, vous devez avoir et conserver une modération qui lui donne de l’harmonie.