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| Bataille d'Azincourt |
jeudi 5 janvier 2012
5 commentaires:
[La grand’salle du château.]
Entrent Hamlet et plusieurs Comédiens.
HAMLET
Dites, je vous prie, cette tirade comme je l’ai prononcée devant vous, couramment ; mais si vous la braillez, comme font beaucoup de nos acteurs, j’aimerais autant faire dire mes vers par le crieur de la ville. Ne sciez pas trop l’air ainsi, avec votre bras ; mais usez de tout sobrement ; car, au milieu même du torrent, de la tempête, et, je pourrais dire, du tourbillon de la passion, vous devez avoir et conserver une modération qui lui donne de l’harmonie.
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Willy toujours vainqueur, haut la main.
RépondreSupprimerDites, Alfonso, auriez-vous un portrait de vous (huile sur toile ou manière noire, voire vernis mou) à proposer aux yeux de la marquise qui ne tarit point d'éloge à votre endroit ?
Amicalement
delorée
D'éloges. Encore raté. Rater mieux.
RépondreSupprimerCher delorée, vous le savez, … Le consul est revenu sur son île, hier, par l’est sous la brume du matin.. Mais ce qui me tourmente c'est d'avoir oublié Elise dans la liste.
RépondreSupprimerD'une certaine façon, Soluto travaille à mon portrait. Comme au votre d'ailleurs. Et de tous les noms sur toutes les listes.
Quant à la Marquise je ne dois pas écrire quand l'émotion est trop forte ou insuffisamment modérée, alors...
Elise, nul ne peut l'oublier, cher Alfonso, tout comme la Marquise. Ne soyons pas si modérément modérés.
RépondreSupprimerHardi donc ! comme dit cousin Frédéric lorsqu'il croise la mouette rieuse qui hésite à se poser sur le rhinocéros.
ps: le souffle du consul sous la brume couvrira le cri du trader abattu en plein vol.
Au marquis de l'Orée : votre chère marquise, que j'aime beaucoup, ne m'a jamais demandé mon portrait : je suis très vexé et navré, bien qu'étant très laid je préfère rester invisible !
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