mardi 4 novembre 2014

Néo-Mexique

9 commentaires:

  1. J'ai retrouvé mon chemin. C'est par
    Merci !!!

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  2. J'avais fait la même chose pour la plaque située place Saint-Sulpice ! ;-)

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  3. C'est avec JCP que j'ai découvert le cinéma (le vrai) entre 12 et 20 ans : il fit naître une passion... . Ce sont donc des retrouvailles, vraiment ! Rien à voir avec un snobisme internautique. grrr...
    C.T.

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  4. https://www.youtube.com/watch?v=EoLY3bw1hic

    Le 6 novembre 2014, C.T. intervertit le J et le C de CJP.

    C'était un jeudi.

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  5. La pratique du commentaire de blog me parait de plus en plus présomptueuse et vaine, sans doute parce que je ne suis pas Neo-Mexicaine. En tout cas, retrouver partout cet histrion sans sève, sans substance et sans passion qui vampirise celles des autres, m'horripile.
    Adieu.

    (désolé, cher Alfonso, ce post est un vrai champ de mine)

    Carole

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  6. Chère Carole,

    Votre réaction montre que vous êtes par essence néo-mexicaine. Cela se voit dans votre allergie aux finauds qui tirent fierté de leur inculture et voudraient qu'on les aimât pour leurs boutades qu'ils prennent pour des pensées bien senties.

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    1. Tiens, de rat, je suis passé à finaud, vous verrez cher Frédéric Schiffter, dans quelque temps, vous finirez par m'apprécier. ;-)

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  7. Cher Frédéric,
    Votre soutien me met du baume au coeur... même si je ne me sens pas à la hauteur des sommets néo-mexicains, je vous lis régulièrement (en silence).
    Merci à vous

    Carole

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    1. Chère Carole,

      Le Néo-Mexique est surtout connu pour ses plages et ses cinémas. On y trouve bien peu de philosophes. Encore moins de finauds .

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[La grand’salle du château.]

Entrent Hamlet et plusieurs Comédiens.

HAMLET
Dites, je vous prie, cette tirade comme je l’ai prononcée devant vous, couramment ; mais si vous la braillez, comme font beaucoup de nos acteurs, j’aimerais autant faire dire mes vers par le crieur de la ville. Ne sciez pas trop l’air ainsi, avec votre bras ; mais usez de tout sobrement ; car, au milieu même du torrent, de la tempête, et, je pourrais dire, du tourbillon de la passion, vous devez avoir et conserver une modération qui lui donne de l’harmonie.