Dominique Poncet, Les pentes fabuleuses, Comp'Act
(col. Portable), 2003.
[La grand’salle du château.]
Entrent Hamlet et plusieurs Comédiens.
HAMLET
Dites, je vous prie, cette tirade comme je l’ai prononcée devant vous, couramment ; mais si vous la braillez, comme font beaucoup de nos acteurs, j’aimerais autant faire dire mes vers par le crieur de la ville. Ne sciez pas trop l’air ainsi, avec votre bras ; mais usez de tout sobrement ; car, au milieu même du torrent, de la tempête, et, je pourrais dire, du tourbillon de la passion, vous devez avoir et conserver une modération qui lui donne de l’harmonie.
Voilà ce qui arrivera un jour ou l'autre avec chacun de nos blogs...
RépondreSupprimerUn jour, Internet va mourir.
Sapristi ! a dit la Marquise en apprenant l'envol de Louis la libellule vers un ailleurs autrement incertain.
RépondreSupprimerC'est inouï, a-t-elle ajouté.
cher alfonso je suis chez vous aprés le bain de ce matin , pitié pour nos pauvre yeux c'est difficile de vous lire du noir sur du gris Au secours allofonso !
RépondreSupprimeril faut que l'on vous imprime. avec ma pauvre becanne qui ne marche pas ; mais je respecte votre choix heureusement que je vous ai croisé dans l'eau je vais trouver une solution pour ne pas abimer mes yeux. pensez à la vielle duchesse de Pin. ca c'est bien les garçons. pudique . pudique , je vous embrasse avec les personnes qui vous entourez. peutêtre demain dans l'eau la pizza est au four.
Voilà très chère Frankie : n'est-ce pas un peu la piscine de Paris ?
Supprimer