JE TE SALUE D4ËTRE VENUE SUR MON BLOG je pense souvent à toi mais je crois que vraiment je n'arrive pas à comprendre certainement tes subtilités un monde à l'orée le marquis ne m'en veut pas je t'embrasse fort ainsi que ta femme et tes petits
Le nom de jeune fille de ma grand-mère maternelle est : Thibon. Lucienne Thibon.
Nous sommes allés à Saint-Marcel d'Ardèche : enfant j'ai pratiqué la ferme du philosophe paysan : Gustave Thibon. J'ai vu la vallée du Rhône exactement comme Simone Weil a vu la vallée du Rhône (je ne le savais pas).
Comme lecteur : Simone Weil et Arthur Rimbaud.
Après notre rencontre j'ai dessiné des lignes de flottaison sur mon blog (elles étaient déjà là).
Françoise, vous le savez (tu le sais) l'absence de commentaire (il y a façon et façon de ne pas commenter) révèle peut-être ce qu'il y a de plus (...) dans notre assez peu confortable condition.
HAMLET Dites, je vous prie, cette tirade comme je l’ai prononcée devant vous, couramment ; mais si vous la braillez, comme font beaucoup de nos acteurs, j’aimerais autant faire dire mes vers par le crieur de la ville. Ne sciez pas trop l’air ainsi, avec votre bras ; mais usez de tout sobrement ; car, au milieu même du torrent, de la tempête, et, je pourrais dire, du tourbillon de la passion, vous devez avoir et conserver une modération qui lui donne de l’harmonie.
JE TE SALUE D4ËTRE VENUE SUR MON BLOG
RépondreSupprimerje pense souvent à toi mais je crois que vraiment je n'arrive pas à comprendre certainement tes subtilités un monde à l'orée le marquis
ne m'en veut pas
je t'embrasse fort ainsi que ta femme et tes petits
Le nom de jeune fille de ma grand-mère maternelle est : Thibon. Lucienne Thibon.
RépondreSupprimerNous sommes allés à Saint-Marcel d'Ardèche : enfant j'ai pratiqué la ferme du philosophe paysan : Gustave Thibon. J'ai vu la vallée du Rhône exactement comme Simone Weil a vu la vallée du Rhône (je ne le savais pas).
Comme lecteur : Simone Weil et Arthur Rimbaud.
Après notre rencontre j'ai dessiné des lignes de flottaison sur mon blog (elles étaient déjà là).
Françoise, vous le savez (tu le sais) l'absence de commentaire (il y a façon et façon de ne pas commenter) révèle peut-être ce qu'il y a de plus (...) dans notre assez peu confortable condition.
Je vous salue.