mercredi 15 avril 2015
5 commentaires:
[La grand’salle du château.]
Entrent Hamlet et plusieurs Comédiens.
HAMLET
Dites, je vous prie, cette tirade comme je l’ai prononcée devant vous, couramment ; mais si vous la braillez, comme font beaucoup de nos acteurs, j’aimerais autant faire dire mes vers par le crieur de la ville. Ne sciez pas trop l’air ainsi, avec votre bras ; mais usez de tout sobrement ; car, au milieu même du torrent, de la tempête, et, je pourrais dire, du tourbillon de la passion, vous devez avoir et conserver une modération qui lui donne de l’harmonie.
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Bel hommage rendu à chèvre Natalie et à ses visions enfin révélées, cher Suzerain.
RépondreSupprimerLes chèvres qui vont mourir vous saluent.
5 € et quelques.
RépondreSupprimer1 m 40 et une bosse.
Je cours entre 6 et 7 km ( il y a un moment où je ne pense plus : je vois ça dans le visage de ceux que je croise. )
Sans vos apophtegmes et le reste, je ne lirais pas la traduction de qui vous savez de la même façon.
Féalfonso vôtre
Ah si seulement Saint Louis était ici, nous aurions son avis sur cette nouvelle mouture...
RépondreSupprimerEt je me demande ce que pense cousin Frédéric de Grand-oncle Georg Christoph.
(Moi aussi, souvent je cours, mais ces temps-ci j'entasse plutôt : des madriers afin de terminer ma chambre d'amies.)
Adieu.
Cher Marquis,
RépondreSupprimerVos aïeux sont les miens. Y compris les Chinois.
Houbistement vôtre,
FS
Dans tout nihiliste balnéaire sommeille un vieux chinois bossu d'un mètre quarante, m'étais-je dit.
SupprimerMa théorie de Wudangshan-sur-Göttingen étant exacte, je me remets au lit sur-le-champ.
Une bonne théorie doit être validée par la sieste.
Adieu la terre !
Houba, cher Frédéric.