Doctor Schiffter, vous avez entre les mains des fragments du Journal d’Alfonso.
Un journal parsemé de pensamientos minúsculas. Ouvrez au hasard, c’est toujours les mêmes phrases.
« Quand je ne travaille pas à la piscine de l’hôtel, je suis attaché à mon rêve ».
« Mon rêve se nourrit exclusivement d’immobilités bleues ».
Et puis, le plus souvent, « rien ».
Doctor Schiffter, revenez, il y a du rififi à l'hôtel.