Il y a au moins deux types de lecteurs du Dictionnaire chic de philosophie (un dictionnaire : ça traîne, ça s'abandonne mais c'est toujours là : prêt pour la consultation).
Le lecteur du Dictionnaire chic de philosophie qui fréquente le blog du docteur S. n'est pas exactement le même que le lecteur du Dictionnaire chic de philosophie qui ne fréquente pas le blog du docteur S. : le lecteur du Dictionnaire chic de philosophie qui fréquente le blog du docteur S. a déjà lu une large partie des entrées : ça change tout.
Commentaires sur le Dictionnaire chic de philosophie ferait une assez jolie nouvelle.
N'allez pas croire que tous les lecteurs du docteur S. soient élégants : hier ma femme (nous n'habitons pas la même aile du château mais nous nous croisons de temps en temps) m'a parlé d'un client (ma femme travaille dans une librairie), un peu saoul, le dernier Schiffter à la main, voulant très fort passer devant tout le monde au moment de payer.
Que ce lecteur commente : cela nous ferait passer deux ou trois agréables minutes.
Ça ne peut pas être moi : je ne bois pas et je n'achète pas de livres.
RépondreSupprimerMais s'il était consultable gratuitement, je le lirais avec plaisir. Ce qui est en partie déjà fait si j'en crois votre billet.
Je bois et j’achète des livres ; mais ne fais rarement les deux en même temps…
RépondreSupprimerMa femme (encore elle) ne commente jamais à La Plantación et rarement à la maison.
RépondreSupprimerLà elle me dit : — c'est pas ça. Ça ne s'est pas passé comme ça. L'important n'est pas ce que tu dis. L'important c'est que je m'apprêtais à lui parler. Que j'allais le faire. Que j'en avais très envie et patatras.