Chaque jour, en vous rendant courtoisement visite pour m'émerveiller, j'aperçois en haut à droite, cette main aux doigts écartés. Alors je vous récite ces si beaux vers de Paul Vincensini :
"Je compte les jours Sur mes doigts J'y compte aussi mes amis Mes amours Un jour Je ne compterai plus que mes doigts Sur mes doigts"
HAMLET Dites, je vous prie, cette tirade comme je l’ai prononcée devant vous, couramment ; mais si vous la braillez, comme font beaucoup de nos acteurs, j’aimerais autant faire dire mes vers par le crieur de la ville. Ne sciez pas trop l’air ainsi, avec votre bras ; mais usez de tout sobrement ; car, au milieu même du torrent, de la tempête, et, je pourrais dire, du tourbillon de la passion, vous devez avoir et conserver une modération qui lui donne de l’harmonie.
Vous avez la flèche caressante, cher Alfonso.
RépondreSupprimerCher monsieur Alfonso,
RépondreSupprimerChaque jour, en vous rendant courtoisement visite pour m'émerveiller, j'aperçois en haut à droite, cette main aux doigts écartés. Alors je vous récite ces si beaux vers de Paul Vincensini :
"Je compte les jours
Sur mes doigts
J'y compte aussi mes amis
Mes amours
Un jour
Je ne compterai plus que mes doigts
Sur mes doigts"