— Et mes désirs brutaux s’accrochent à leurs lèvres…
Après l'intervention du modo :
— Et je sens les baisers qui me viennent aux lèvres…[1]
[1] Rimbaud - Œuvres complètes, édition établie, présentée et annotée par Antoine Adam, NRF/Gallimard, coll. Bibliothèque de la Pléiade, Paris, 1972, 1 250 p.
La musique dans le second vers est plus belle et plus douce.
RépondreSupprimerEn ce qui me concerne, je remercie Izambard (s'il y ait réellement pour quelque chose).
Reconnaître ses erreurs ! ( s'il y est...)
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