Un oeil d'eau morne stagne dans le creux des obliques
Je me sens pas très bien avec mes bouffées nostalgiques
Quelques Swisher Sweets s'impatientent dans le tiroir de Vasquez
Du front, les nouvelles ne sont ni bonnes ni mauvaises
[La grand’salle du château.]
Entrent Hamlet et plusieurs Comédiens.
HAMLET
Dites, je vous prie, cette tirade comme je l’ai prononcée devant vous, couramment ; mais si vous la braillez, comme font beaucoup de nos acteurs, j’aimerais autant faire dire mes vers par le crieur de la ville. Ne sciez pas trop l’air ainsi, avec votre bras ; mais usez de tout sobrement ; car, au milieu même du torrent, de la tempête, et, je pourrais dire, du tourbillon de la passion, vous devez avoir et conserver une modération qui lui donne de l’harmonie.
C'est comme ça.
RépondreSupprimerPiergiorgio Bellocchio m'a tuer. (Cliquez)
RépondreSupprimerpris aussi en plein cœur, la fin de la citation de P. Bellocchio "Quant aux artistes et écrivains amateurs (...) laissaient malheureusement aussi à désirer dans le travail qui les faisait vivre: mauvais médecins, professeurs ignares, artisans maladroits, juges apathiques, avocats ineptes, fonctionnaires et employés négligents et assez souvent corrompus. Le fait de taquiner les Muses servait à la plupart d'entre eux d'excuse pour se sentir supérieurs à leur devoir."
RépondreSupprimerBellocchio délivre-t-il les permis d'écrire? J'peux continuer m'sieur siouplé, j'vous jure que j'frai bien mon travail et que je resterai anonyme...
RépondreSupprimerA Anonyme > (Cliquez)
RépondreSupprimerToujours bien se mettre ça sous le front.
Pruitsschprutt... Ok
RépondreSupprimerBonjour Alfonso,
RépondreSupprimerVoilà, j'ai fait, sous le commentaire que vous avez laissé sur mon blog, une petite réponse à votre requête...
Belle journée à vous...
Phrase mutante - alertes épisodiques - variations persistantes
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